Mesure de l'air d'échappement pour augmenter l'efficacité énergétique dans les gaz d'échappement chargés/chauds
Production de laine de roche
La fabrication de la laine minérale, en particulier de la laine de roche, est un processus complexe et consommateur d'énergie. Les matières premières de la laine de roche sont le spar, la dolomite, le basalte, la diabase, l'anorthosite et les matériaux recyclés issus du processus de production. Les matières premières pour la laine minérale sont jusqu'à 70% de déchets de verre, de sable, de pierre à chaux et de soude. Le tout est combiné pour créer une masse liquide (le coke sert de fournisseur d'énergie). Cette masse est fondue et pulvérisée sous forme liquide en fibres. Ensuite, de la résine est ajoutée comme agent liant au matériau de base fibreux. Le produit intermédiaire homogène qui en résulte est ensuite envoyé dans le four de durcissement. Là, la résine de durcissement se combine avec les fibres et donne le matériau composite fibreux souhaité.
Économiser l'énergie en mesurant l'air évacué après les fours de durcissement
Ce processus de fabrication, qui consomme de l'énergie, est au centre des préoccupations des producteurs en raison de l'augmentation des coûts énergétiques. Afin de contrer cette augmentation, l'air évacué dans les usines existantes doit être régulé. Ces mesures et d'autres mesures liées à l'énergie peuvent être utilisées pour répondre aux exigences de la certification.
Mesure de l'air évacué dans les fours de trempe
L'air vicié du four de trempe est évacué par des systèmes de filtration. Selon le produit, différentes températures partiellement élevées sont atteintes. L'air évacué est également chargé d'agents liants (résines), ce qui, par le passé, entraînait l'échec de la technologie de mesure utilisée.
C'est là que nos capteurs de tourbillons entrent en jeu. Grâce à des nettoyages fréquents, ils fonctionnent même dans des conditions extrêmes (voir photo ci-dessous).
Ils ont une très grande résistance à la terre et au condensat. Le but de l'utilisation est de ne tirer du tuyau, par l'intermédiaire d'un ventilateur d'extraction, qu'une quantité d'air vicié suffisante pour achever le processus de durcissement sans gaspiller d'énergie. Tout en veillant à ce qu'aucun mélange de gaz explosif ne se produise. Pour éviter cela, il faut dériver une quantité suffisante d'air d'échappement (quantité dépendant du produit) (ventilation forcée). La vitesse d'écoulement mesurée permet de régler un couvercle en conséquence.